Codex Urbanus s’exprime aussi sur des murs plus complexes, où d’antiques symboles apparaissent sur des fonds dorés, comme des icônes religieuses. Et parfois même, ce sont des dessins à l’encre de Chine ou des toiles sur fond de peinture anti-graffiti qui sont montrées au rythme des expositions, dans différentes galeries.
S’il n’a pas, à proprement parler, de formation artistique, Codex Urbanus a toujours dessiné à la marge. Dans ses cahiers de cours, sur ses notes de réunion, sur des papiers volants. C’est quand il a cessé de travailler dans le monde de l’entreprise qu’il a fallu trouver un exutoire au manque créatif. Rapidement, c’est en vandale qu’il a assouvi sa soif d’art, suivant les exemples de bien des artistes du graffiti et du street art avant lui.
Aujourd’hui, de Montmartre aux galeries de Street Art, l’art de Codex Urbanus s’exprime sous des formes différentes, et participe à la personnalité diverse et foisonnante de la scène de l’art urbain parisien…